Gypsy Dance'Scape festival 2019
Sophie Ménissier et la Cie Isao convient des intervenants de tous horizons
Pour vous emporter dans le vent des Danses Tsiganes du Monde
De 19h à 21h @Micadanses - Studio Noces 20 rue Geoffroy l'Asnier, Paris 4e
Tarif Atelier : 28€ - Tarif Festivité : 15€
2h de danse sur musique live, shot de Vodka et Molossol !
Pour accueillir tous ensemble le Nouvel An Russe, venez partager cette séance de danse, mi guidée, mi improvisée, au son des musiciens et dans une ambiance festive.
Au programme :
- Échauffement thématique guidé par Sophie Ménissier
- Découverte d’une chanson russe à interpréter tous en cœur
- Exploration d’un rythme asymétrique sur une mélodie Serbe
- Extraits du répertoire chorégraphique de la Cie Isao
- Buffet participatif pour renouveler nos vœux pour 2019 !
Un air de nouvel an russe
Natacha, Nuits de Princes
Et vous !
Avec Natacha Fialkovsky (chant et balalaika),
Natalia Trocina (domra), Pascal Storch (chant-guitare), Thierry Colson (contrebasse), Olivier Cahours (guitare)
Danse Tsigane Russe
Venez vous immerger dans l'esprit de la culture Tsigane russe, telle que Pétia la transmet dans toute son authenticité, haute en couleur et en expressivité, nourrie de récits personnels et d'émotions vives.
Sur cette toile de fond indissociable de la présence même de Pétia, la séance abordera la tenue corporelle inhérente à ce style, les frappes de pieds, le maniement de la jupe, les pas traditionnels, la fougue, la vitesse, la force, l'espièglerie et la sensualité.
Niveau : Intermédiaire et Tenue requise : Chaussures type caractère (sans clou) +
une jupe aussi large que possible
Pétia Iourtchenko
Pétia Iourtchenko
Originaire de la tribu de Vlach en Russie, Pétia est un virtuose de la danse tsigane, chanteur et comédien, issu du prestigieux «Théâtre Romen» de Moscou.
A l'occasion de tournées mondiales, il joue avec la troupe pour la 1ère fois à Paris au «Théâtre Mogador» en 1988 et quitte le «Théâtre Romen» pour s'installer à Paris, où il se produit dans différents cabarets et participe à la formation du trio «Arbat» qui sillonne le monde et enregistre 3 albums.
En 1994, il fonde à Paris sa Cie Romano Atmo
(l’âme tsigane), avec l'aide de sa femme Anne-Marie, dans l'objectif de préserver la culture, la tradition et la danse tsigane. Puis il commence alors à enseigner sa méthode de danse aux « gadgés » (tous ceux qui ne sont pas tsiganes) et devient le créateur de la 1ère méthode développant un lexique chorégraphique, puisant dans la tradition de son pays d’origine, la Russie et dans la culture tsigane d'Europe. Son style est enrichit par de nouveaux pas, qu'il nomme par le dialecte tsigane, la langue russe et française. Il diffuse sa méthode et son répertoire chorégraphique, grâce aux spectacles de sa Cie et de Master Classes internationales.
Perfectionniste, Pétia crée sur mesure, dans le respect des traditions de ses ancêtres, les jupes de chacune de ses danseuses, vêtement féminin emblématique du style tsigane russe.
En 2005, il travaille avec Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault dans le spectacle «Ivresse», au cinéma il tourne entre autres, dans le film «Rires et châtiments» réalisé par Isabelle Doval, avec José Garcia, film auquel participe Sophie Ménissier, alors danseuse de la Cie Romano Atmo (de 1998 à 2004).
La Rubia
La Rubia
La Rubia est une artiste accomplie et reconnue dans le monde du Flamenco en tant qu’interprète, chorégraphe et pédagogue.
Originaire de Marseille, c’est auprès des gitans du sud de la France qu’elle esquisse ses 1ères “pataitas por buleria”. Directrice d'“el Boleco”, tablao marseillais, elle est pendant 7 ans, le moteur d’une rencontre mensuelle entre gitans et “payos” autour d’une passion commune: le flamenco. La Rubia, baptisée ainsi par La Tati de Madrid, est invitée à se produire dans de nombreux pays : spectacles de flamenco traditionnel et également créations (fusions contemporaines, théâtre ou encore danse kathak).
Après vingt ans de scènes et tournées, La Rubia, installée à Jerez de la Frontera (Espagne) décide de se consacrer principalement à l'enseignement.
Sa pédagogie repose sur l'écoute du chant. Elle enseigne les clefs du flamenco traditionnel qui permettent de danser en communion avec les musiciens, de comprendre comment fonctionne le dialogue entre le danseur et la musique. De cette façon, l'élève devient autonome, il ne récite pas une chorégraphie : il danse !
Initiation à la Buleria
La bulería est la danse flamenco de fête par excellence. Sa rythmique est enjouée, son expression joyeuse et l’on peut même y rajouter quelques touches d’humour si le coeur nous en dit. C’est le style de Jerez que l’on vous propose de découvrir pendant cet atelier, dans un esprit de partage, de jeu et de bonne humeur.
Accompagnée à la guitare par Laurent Noël
En Bulgarie/България et dans tous les Balkans, le 1er mars marque l'arrivée du printemps, on célèbre Baba Marta/Баба Марта, personnage traditionnel aux multiples légendes.
La tradition veut que l'on s'offre des "Martenitsi"/мартеници, bracelets et figurines de couleurs rouges et blanches qui symbolisent la santé, protection et bonheur, et qui sont ensuite accrochées aux arbres.
Cette tradition/традиция , qui s’étend d'année en années, a gagné la Cie Isao depuis déjà 2 ans. Et pour la 1ère fois nous vous invitons à la célébrer, en nous permettant une interprétation assez personnelle.
Au programme :
- Échauffement sur le thème du printemps/пролетен обред,
danse libre et contemporaine guidée par Sophie
- Distribution de martenitzi
- Transmission de danses bulgares traditionnelles/
български народни танци et collectives guidée par Kalina
- Performance dansée par Claudine, Dounia, Stéphanie et Kalina
de l'association "Les Voyous et les voyelles",
danse tribale sur musiques d'inspiration bulgare et percussions
- Buffet partagé pour clôturer la soirée
Fête du printemps
et des martenitzi/мартеници
Condition requise : Être vêtu de rouge et blanc dans une tenue assez confortable pour danser
Sarah Moha
Sarah Moha
Originaire de Marseille, elle commence la danse à l’âge de 9 ans en prenant des cours de jazz et poursuit avec du contemporain et du classique.
Le Flamenco, elle l'apprend d'abord à Paris (Mari Carmen Garcia), puis en Espagne (Belen Maya, Israël Galvan, Rafaela Carrasco). Elle cherche à donner un sens plus "contemporain" et "libre" à cette danse, grâce au travail danse - théâtre avec Juan Carlos Lerida et de danse improvisée avec Rocio Molina.
Elle commence cette expérimentation dès 1999 avec Elizabeth Schmidt - compagnie Tendanse - en Danse Théâtre et la Compagnie Eva Luna en flamenco contemporain . Aujourd'hui, revenue dans sa région d'origine, elle le développe à travers des stages "flamenco en liberté" (extérieur-intérieur), des performances (Musique Rebelle, Estakrew) et le travail de création de la Compagnie EFZ (Eklectik flamenko Zone) depuis 2013.
Sarah Moha est une artiste éprise de liberté, elle trouve sa force dans son identité méditerranéenne et ses diverses rencontres artistiques.
Au cours de ces ateliers, elle vous proposera une approche des notions d’ancrage, torsions, coordination, gestuelles, rythmiques et musicalité, pour un parcours au cœur des fondements du flamenco, dans un esprit de recherche contemporaine...et à pieds nus !
3ème et 4ème Sévillanes
Danse de couple d'origine folklorique et populaire née à Séville au XVI ou XVIIe siècle, elle est exécutée lors de la fameuse "Feria" au printemps. Elle a été maintes fois revisitées par de nombreux styles :
classique, escuela bolera, flamenca, etc.
Il faut regarder le film de Carlos Saura "Sevillanas" pour se rendre compte de toute la diversité des interprétations à travers les quatre formes fixées par la musique :
la rencontre, la séduction, la dispute
et la réconciliation.
Une danse élégante et gracieuse qui garde une grande liberté et qui n'a pas perdu de son intérêt encore à ce jour.
Danse des Roms
de Turquie
La Danse des Roms de Turquie est originaire d'Anatolie. Pratiquée sous l'Empire Ottoman, notamment dans les harems, elle était interprétée par les castes de danseuses, dont les tsiganes, qui l'ont fait évoluer d'une danse collective vers une représentation de soliste.
Son rythme particulier, dit "aksak", en 9/8, aurait des origines chamaniques venues d'Asie Centrale, ce qui expliquerait l'engouement ressenti lorsqu'on commence à pratiquer.
Imayane
Imayane
D'origine franco-italienne, elle a toujours pratiqué la danse et la musique. Elle s'est passionnée pour les culture d'Afrique et du Maghreb dès l'âge de 12ans à la suite d'un voyage en Tunisie. Et à l'adolescence, elle dansait déjà sur des musiques algériennes. Mais c'est à son arrivée à Lyonau début des années 2000, qu'elle découvre la danse orientale et qu'elle s'y adonne sans relâche. Parallèlement elle fait des études de lettres modernes et d'anthropologie.
Elle rencontre alors Melisdjane Melisanda Sezer, grande danseuse turque et pédagogue, dont l'approche artistique, musicale et ethnologique est une véritable révélation. Avec elle, se consolide l'idée que la danse orientale est un art riche et précieux où poésie et danse ne font qu'un.
Imayane transmet ce style en s'appuyant sur l'écoute rythmique de ces musiques de type "karshilama". En s'inspirant de l'Eutonie, elle utilise l'attention portée à la conscience corporelle, qui permet de progresser à partir des perceptions interne et non pas simplement par imitation.
Chacarera
Danse tradionnelle d'Argentine
Naty Capdevila
Née en Argentine, elle découvre la danse à l'âge de 6 ans. Elle prend des cours de classique et de jazz et se forme ensuite aux danses traditionnelles d'Amérique du Sud mais aussi au théâtre et à la musique. Arrivée en France à l'âge de 19 ans, elle se forme dès lors et obtient son diplôme d’État.
Dans le cadre de la formation à la scène, Naty danse pour Christine Gérard , Cie Coquempot et elle est actuellement danseuse et interprète pour la compagnie Julie Sicard.
Son univers est nourri de rencontres chorégraphiques, tout en mêlant l'influence de sa terre natale.
Naty Capdevila
Tenue requise : pieds nus ou en chaussures + jupe large
Si on quitte l'univers des tsiganes avec ce thème, cette danse folklorique argentine se rapproche beaucoup des déplacements, placement du corps et de l'esprit de Sévillanes, tandis que le jeu de jupes et les frappes de pieds rappellent le travail de la danse tsigane. Ces similitudes nous renvoient à l'importance de la danse dans les grandes cours européennes vers le XVIIIe siècle et à l'image véhiculée dans leurs empires.
Pour cette séance de Danse Traditionnelle, Naty axera son approche sur le plaisir du mouvement dansé, l'expressivité et la musicalité du corps. Après un travail d'éveil du corps et des appuis, inspiré de la danse contemporaine, seront abordées les notions d'amplitude du mouvement, de nuances dynamiques, de placements du buste, d'épaulés, de cambrés et d'oppositions, ainsi que du maniement de la jupe. Ces concepts viendront soutenir l'apprentissage de la Chacarera, l'entrée en relation et le travail géométrique des déplacements.
Fiesta Sévillane
de clôture
du Gypsy Dance'Scape
Joyeuses et rythmées, dans une esthétique proche du Flamenco, issue d'influences multiples, danser les Sévillanes est une occasion de jouer et se retrouver.
Cette séance aura pour objectif de danser, une connaissance minimum des Sévillanes est donc requise (une séance d'apprentissage prévue le 14 mars voir ci-dessus).
Pour cette clôture du Gypsy Dance'Scape, l'esprit est à la fête ! Venez en tenue traditionnelle, amusez vous, invitez vos amis et partageons un buffet participatif.
animée par Sarah Moha
animée par Sarah Moha
Originaire de Marseille, elle commence la danse à l’âge de 9 ans en prenant des cours de jazz et poursuit avec du contemporain et du classique.
Le Flamenco, elle l'apprend d'abord à Paris (Mari Carmen Garcia), puis en Espagne (Belen Maya, Israël Galvan, Rafaela Carrasco). Elle cherche à donner un sens plus "contemporain" et "libre" à cette danse, grâce au travail danse - théâtre avec Juan Carlos Lerida et de danse improvisée avec Rocio Molina.
Elle commence cette expérimentation dès 1999 avec Elizabeth Schmidt - compagnie Tendanse - en Danse Théâtre et la Compagnie Eva Luna en flamenco contemporain . Aujourd'hui, revenue dans sa région d'origine, elle le développe à travers des stages "flamenco en liberté" (extérieur-intérieur), des performances (Musique Rebelle, Estakrew) et le travail de création de la Compagnie EFZ (Eklectik flamenko Zone) depuis 2013.
Sarah Moha est une artiste éprise de liberté, elle trouve sa force dans son identité méditerranéenne et ses diverses rencontres artistiques.
Au cours de ces ateliers, elle vous proposera une approche des notions d’ancrage, torsions, coordination, gestuelles, rythmiques et musicalité, pour un parcours au cœur des fondements du flamenco, dans un esprit de recherche contemporaine...et à pieds nus !